Pourquoi j’ai mangé mon père, de Roy Lewis
| Illustration parfaite de la loi dite « grutesque », ou « plus on t’en dit du bien, et moins tu es emballé ». La quatrième de couv’ est alléchante, tout autant que la promotion de Catherine T. et la préface de Vercors (ordre sans préférence aucune…). En revanche, en dépit de quelques passages vraiment drôles, je dois dire que j’ai été terriblement déçue. L’histoire est certes rigolote, et l’adaptation préhistorique de certains sujets tout à fait actuels prête à sourire, mais je m’attendais à une vraie tranche de rire à la Tom Sharpe (« Wilt »), et toute mon excitation s’est éteinte comme un vulgaire feu de paille. Muff. |